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Méta
« Une petite maison verte » pour les éco-citoyens en herbe
« Une petite maison verte » pour les éco-citoyens en herbe
ICF Habitat ©
ICF Habitat a lancé un concours pour les enfants de ses collaborateurs visant à imaginer une petite maison écologique. Les participants ont rivalisé d’astuce et d’ingéniosité pour livrer des maisons toutes plus vertes les unes que les autres. Morceaux choisis.
Des éoliennes, des panneaux solaires de toiture, un puits (non canadien), des arbres fruitiers : l’image de la maison verte pour le petit Alexandre.
« Une maison verte, c’est une maison avec des fleurs et des arbres. Et puis il faut un chien aussi. Il y a aussi de l’herbe sur le toit, même les chats peuvent venir en manger« . La vérité sort donc de la bouche des enfants. En l’occurrence ici d’Elsa, 5 ans, qui a participé à la première édition du concours « Ma petite maison verte » lancée par ICF Habitat auprès des enfants de ses collaborateurs. La filiale logement de la SNCF a en effet choisi de sensibiliser les plus jeunes à l’importance de l’environnement et de la construction durable en leur proposant d’imaginer la maison écologique de leurs rêves. Bien qu’ayant un caractère didactique et concret, le concours s’adressait à un large public allant de 2 à 8 ans et plus.
Les chères petites têtes blondes ont planché sur un sujet ardu : un prototype de maison ayant le soleil pour seule source d’énergie. Architectes en herbe et urbanistes en culottes courtes se sont donc retroussés les manches pour concevoir des habitations éco-responsables (quelquefois avec l’aide de papa et maman). Il en résulte une ribambelle de maisons recouvertes de bambous, de panneaux solaires, de toitures et de murs végétalisés, munies d’éoliennes et de plantations diverses. « J’ai mis une éolienne, parce que ça fait de l’électricité« , explique Louison, 7 ans. « Dehors il y a un composteur et un grand bidon pour récupérer l’eau de pluie. Il y a des rosiers sur les murs parce que c’est joli !« . Des explications convaincantes.
La maison de Lilly, à la toiture recouverte d’écailles de pommes de pins pour une meilleure isolation. Elle intègre également des panneaux solaires photovoltaïques en toiture.
Une politique énergétique ambitieuse
« J’ai fait une maison pour les animaux, avec des papillons qui font du vent, des moutons qui réchauffent la maison et des coccinelles qui portent le bonheur« , déclare Manech, 8 ans, adepte de la bio-ingénierie. Des concepts intéressants qui feront sûrement leur chemin dans la politique énergétique d’ICF Habitat. La société souhaite en effet renforcer la performance thermique de son patrimoine immobilier en atteignant un maximum de 130 kWh/m²/an pour l’existant et en anticipant les normes BBC pour le neuf. L’objectif est de diviser par quatre les émissions de gaz à effet de serre du parc à l’horizon de 2050. ICF Habitat gère plus de 100.000 logements, dont 40 % en Île-de-France.
« J’ai fait une maison pour les animaux, avec des papillons qui font du vent, des moutons qui réchauffent la maison et des coccinelles qui portent le bonheur« , déclare Manech, 8 ans, adepte de la bio-ingénierie. Des concepts intéressants qui feront sûrement leur chemin dans la politique énergétique d’ICF Habitat. La société souhaite en effet renforcer la performance thermique de son patrimoine immobilier en atteignant un maximum de 130 kWh/m²/an pour l’existant et en anticipant les normes BBC pour le neuf. L’objectif est de diviser par quatre les émissions de gaz à effet de serre du parc à l’horizon de 2050. ICF Habitat gère plus de 100.000 logements, dont 40 % en Île-de-France.
Autre proposition d’architecte junior : végétalisation de la toiture, éolienne et… plantes pour faire joli !
Batiactu (30/11/2012)
Publié dans Actualités, Architecture, Architecture écologique !!!, Design, Ecologie, Energies Nouvelles, Ernergie nouvelles, Insolite, les "Arts", Nature, Non classé
Tagué arbres fruitiers, architecte junior, astuce, Île-de-France, éco-citoyens, bio-ingénierie, chères petites têtes blondes, collaborateurs, composteur, concours, Des éoliennes, es émissions de gaz à effet de serre, herbe, les enfants, murs végétalisés, panneaux solaires, papillons, patrimoine immobilier, performance thermique, pommes de pins, prototype de maison, puits, récupérer l'eau de pluie, Sncf, un chien, Une petite maison verte, végétalisation de la toiture
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Un œuf en bois sort de terre au Pays-Bas
Un œuf en bois sort de terre
au Pays-Bas
Metsäwood – 2D3D ©
Un bâtiment en forme d’œuf est la nouvelle attraction de la ville hollandaise de Venlo, qui vient d’accueillir le salon international d’horticulture, Floriade. Tout de bois vêtu, il arbore la couleur du pays hôte, et démarre une seconde vie en tant que centre d’activités polyvalent.
Un OVNI orange baptisé « My Green world »? C’est la dernière trouvaille architecturale de l’agence néerlandaise 2D3D, spécialisée dans la réalisation en deux et trois dimensions. Commandée par le ministère de l’Economie, de l’agriculture et de l’innovation, la structure conçue en Kerto-Q et Leno de la société MetsäWood – qui a déjà fait sensation à Séville – ressemble à « un œuf dont la hauteur et la largeur auraient été étirées ».
De l’importance de la lumière
Il n’aura fallu que six mois pour que ce bâtiment – qui a accueilli le salon international d’horticulture Floriade – sorte de terre. Au total, 1.000 pièces ont été moulées par un robot afin de former les 138 composants du pavillon – le plus grand mesurant 5.6 m de long pour 1.8 m de large. La passerelle structurelle, quant à elle, garantie, à travers ses plis croisés, stabilité, rigidité et robustesse.
Enfin, un soin particulier a été apporté à l’éclairage, tant artificiel que naturel. En effet, pour des raisons de durabilité du bois, l’éclairage artificiel a été réduit à son strict minimum, au profit de la lumière naturelle qui pénètre par les 49 fenêtres que compte l’œuf. Ce n’est qu’en soirée, que des l’éclairage artificiel prennent le relais.
Batiactu (30/11/2012)
http://www.batiactu.com/edito/un-oeuf-en-bois-sort-de-terre-au-pays-bas-33751.php
Publié dans Actualités, Architecture, Design, Insolite, les "Arts", Non classé
Tagué éclairage, Floriade, hollandaise, l'éclairage artificiel, la lumière, My Green world, passerelle, Pays-Bas, Séville, terre, Venlo, œuf
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Hébergement insolite !!!!
Un village en rondins de bois à moins de 50 km de Paris
Plus besoin d’aller au Canada ou en Finlande pour passer une nuit dans un chalet en rondins de bois ! Grâce à un couple de passionnés par ce type d’habitat, il est désormais de vivre cette expérience à moins de 50 kilomètres de Paris. Retour sur la genèse de ce projet un peu fou…
Xavier Levergne – Domaine de La Butte Ronde ©
Voilà sept ans que Xavier et Véronique Levergne ont décidé de tout plaquer. Lassés par la vie citadine, ils ont fait l’acquisition d’un domaine de 42 hectares niché au cœur de la forêt de Rambouillet. L’endroit est idéal pour se mettre au vert et pour démarrer une activité hôtelière. « Lorsque nous sommes arrivés, il n’y avait que deux chalets de montagne, une maison de maître et un haras », explique Xavier. Le nombre d’infrastructures étant limité et leur surface restreinte, le couple va petit à petit les agrandir et en faire construire d’autres : une grande verrière de 320 m2, une piscine de 12 mètres par 6 avec sauna et jacuzzi, un héliport, des pistes de quads …
Par ailleurs, afin d’accroître la capacité du domaine en couchages, Xavier et Véronique se tournent vers les hébergements insolites : d’abord les tipis puis, les chalets en rondins de bois. « L’idée est de faire vivre à nos clients une expérience inoubliable au plus près de la nature », commente Xavier. « Nous avons l’habitude d’aller dans des chalets au Canada, poursuit-il. Ils offrent un cadre de vie particulièrement chaleureux et un confort inégalé ». Mais pas question d’opter pour de pâles copies ! Le couple veut des tipis authentiques du Wyoming et de vrais chalets typiquement finlandais. Et pour les avoir, il va devoir redoubler d’efforts… Trouver un constructeur, dessiner le chalet, modifier les réseaux d’eau et d’électricité sur le domaine … Autant d’étapes que Xavier a accepté de raconter à Maison à part.
C. Chahi Bechkri (18/06/2012)
Première étape du projet : trouver un constructeur. « La tâche n’a vraiment pas été facile car le carnet de commande des constructeurs implantés en France est tellement rempli que les délais d’attente sont très longs ». Pour éviter cette attente, Xavier a décidé de se tourner vers la Roumanie où il a pu faire réaliser quatre chalets en rondins de bois sur-mesure et une grande terrasse sur pilotis. « Nous avons opté pour un modèle très traditionnel d’une cinquantaine de m2 et l’avons décliné en quatre versions. Comme ils ont été construits au fur et à mesure sur le domaine, nous avons pu leur apporter des modifications pour les améliorer », précise notre interlocuteur. La pente du toit ou encore la taille des ouvertures ont ainsi été légèrement rectifiées.
La réplique d’un village canadien
Pour faire aboutir le projet, Xavier a été obligé de faire un voyage en Roumanie. « Le constructeur nous a invités à venir voir le chalet en grandeur nature. Il a ensuite été démonté et reconstruit sur le domaine ». L’ossature des chalets est arrivée prédécoupée par semi-remorques. « Les camions étaient remplis à ras bord de rondins et ont été déchargés à la main : c’était spectaculaire », se souvient Xavier. Il a ensuite fallu redécouper toutes les pièces de bois à la bonne taille et les assembler. En tout, le chantier aura duré 4 mois et mobilisé six personnes à plein temps. « Les travaux ont été lourds et coûteux mais cela valait le coup. Nous sommes ravis du résultat. Tels qu’ils sont implantés, à savoir en demi-cercle, les chalets forment un petit village. On croirait vraiment la réplique d’un hameau du Canada ou de Finlande », s’enthousiasme le maître des lieux.
Des chalets haut de gamme |
Afin de mettre les chalets au même niveau de confort que les autres hébergements existants sur le domaine, Xavier et Véronique ont particulièrement soigné l’aménagement et la décoration intérieure. Une mince chape de béton a, par exemple, été coulée pour assurer une bonne insonorisation entre les étages du logement. Les fenêtres, qui sont toutes de grandes dimensions, ont été multipliées de manière à ce que les occupants puissent bénéficier au maximum de la vue sur l’extérieur.
Un cadre élégant et raffiné
En ce qui concerne la décoration, Xavier et Véronique ont minutieusement choisi tout le mobilier et les différents accessoires. Une partie des meubles en bois viennent de Bali, les luminaires ont été dénichés sur des brocantes, les vaques fabriquées à partir de pierre nature, le sol entièrement recouvert de tomettes anciennes… « Notre objectif était de créer un cadre élégant et raffiné. Ce n’est pas parce que nous sommes dans un chalet qu’il ne peut pas y avoir de belles choses », s’amuse Xavier.
L’été, Xavier et Véronique y accueille les groupes pour des séminaires ou des mariages et, l’hiver, des particuliers désireux de se blottir dans un cocon au chaud. Le prix d’une nuit ? 150 €. Toujours moins cher qu’un voyage au Canada !
Le domaine de La Butte Ronde à 49 kilomètres à l’ouest de Paris, au coeur de la Forêt de Rambouillet. Y sont implantés : un haras, un héliport, une piscine intérieure, une demeure de Maître, des tipis, des chalets de montagne et des chalets typiquement finlandais en rondins de bois.
La décoration a particulièrement été soignée par les propriétaires. Les objets et les meubles ont été chinés tantôt à l’étranger, tantôt sur des brocantes.
Le confort est de mise partout… jusque dans les salles de bains !
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Une terrasse a été construite au milieu du village. Elle peut être utilisée pour organiser des conférences en plein air ou des petits déjeuners lors d’un mariage.
Publié dans Architecture, Architecture écologique !!!, Design, Ecologie, Insolite, Nature, Non classé
Tagué étranger, brocantes, Canada, chalets, chantier, constructeur, décoration intérieure, Finlande, forêt de Rambouillet, hameau, haras, hébergements insolites, héliport, mariages, montagne, paris, petit village, petits déjeuners, pilotis, piscine intérieure, rondins de bois, Roumanie, salles de bains, séminaires, tipis, tomettes
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Une maison pour les sans-abris 1956-2012 ????? !!!!!!
Une maison de Jean Prouvé pour l’Abbé Pierre
Une exposition consacrée à « La maison des jours meilleurs », de Jean Prouvé vient de s’achever à la galerie parisienne Patrick Seguin, spécialisée dans le design et l’architecture du XXe siècle. L’occasion de revenir sur cette construction réalisée par l’architecte en 1954, à la demande de l’Abbé Pierre, pour venir en aide aux sans-abris.
« Jean Prouvé a installé sur le quai Alexandre III la plus belle maison que je connaisse, le plus parfait moyen d’habitation, la plus étincelante chose construite. Et tout cela est en vrai, bâti, réalisé, conclusion d’une vie de recherche. Et c’est l’Abbé Pierre qui la lui a commandée ! », a écrit Le Corbusier qui visite « La maison des jours meilleurs », en février 1956, tandis qu’elle est présentée sur les bords de Seine.
Alors que Nancy, la ville de naissance de Jean Prouvé, célèbre en 2012 l’architecte qui a marqué son époque, la galerie parisienne Patrick Seguin a choisi de lui rendre hommage en présentant, parallèlement à son mobilier, ses architectures démontables, dont sa « Maison des jours meilleurs ».
« L’idée constructive est basée sur un concept créé en 1952, dans l’usine de l’architecte basée à Maxéville : sur le soubassement en béton formant une cuvette, vient se poser un bloc central préfabriqué en acier, abritant la cuisine et les pièces d’eau et qui, supportant une poutre en tôle pliée, forme l’ossature porteuse », nous explique Patrick Seguin.
Et de poursuivre : « A la demande de l’Abbé Pierre de construire un logement de 50m2 (ce qui correspond à un appartement normalisé F3), Jean Prouvé répond avec une maison de 57m2 comprenant deux chambres, un vaste séjour prolongé par une cuisine ainsi que le bloc sanitaire ménager. L’enveloppe est constituée de panneaux-sandwich en bois thermoformé. Les panneaux sont de différents modèles : pleins, avec porte, avec fenêtres à guillotine, arrondis pour les angles. La couverture est constituée de bacs d’aluminium débordant de 50 cm sur toutes les façades, avec un auvent de 1,20 m sur la façade principale et protégeant la baie vitrée. »
Révolutionnaire et très actuelle
Un projet sponsorisé par la lessive Persil ! Prouvé marqua les esprits ce jour-là, sur les quais de Seine où la maison fut montée et démontée en sept heures devant les journalistes et les Parisiens. Non homologuée par le ministère de la Construction, elle restera cependant à l’état de prototype.
« La Maison des jours meilleurs » est une réponse remarquablement efficace à une situation d’urgence à laquelle Jean Prouvé avait déjà réfléchi, notamment à travers les maisons des sinistrés de Lorraine (1944-1945). Mais cette réflexion dépasse le contexte de l’urgence : Jean Prouvé montre que l’on peut concevoir un habitat préfabriqué de qualité, c’est un postulat très révolutionnaire. Cette maison est une icône de l’architecture et elle demeure parfaitement pertinente dans sa conception comme dans son esthétique », conclut Patrick Seguin.
Une naissance remarquée
« La réflexion sur la logique constructive est la base de toute l’œuvre de Jean Prouvé qui disait : il n’y a pas de différence entre la construction d’un meuble et celle d’un immeuble« , nous explique Patrick Seguin, directeur de la galerie. « La Maison des jours meilleurs incarne la pensée constructive de Jean Prouvé, une pensée qu’il applique à l’architecture comme au mobilier. Il y développe sa conception d’un habitat individuel durable, léger, économique et confortable », poursuit le galeriste.
C’est en janvier 1954 que l’Abbé Pierre fondateur de l’association « Les compagnons d’Emmaüs » qui vient en aide aux sans-abris, demande à Jean Prouvé de concevoir et construire une maison correspondant à un appartement normalisé (environ 50 m2) comprenant deux chambres, un vaste séjour prolongé par une cuisine ainsi qu’un bloc sanitaire ménager. Cette maison devait servir de démonstration et inciter la fabrication de logements individuels ou collectifs suivant des procédés industriels.
Yasmina Bennaceur (23/07/2012) Maison à Part
C.Pompidou/MNAM/Bibliothèque Kandinsky/Fonds J.P ©
Conçue dans l’usine de l’architecte située à Maxéville, Meurthe-et-Moselle, la maison devait aider à loger les sans-abris en situation d’urgence. Son installation devait interpeller le public et les autorités.
La Galerie Patrick Seguin a commencé à faire l’acquisition de maisons de Jean Prouvé il y a plus de 20 ans (maison Ferembal en 1991) et de façon plus active ces dernières années, si bien qu’aujourd’hui la Galerie possède la plus importante collection d’architectures démontables de Jean Prouvé, avec l’ambition de les présenter dans des expositions internationales.
« Les panneaux sont de différents modèles : pleins, avec porte, avec fenêtres à guillotine, arrondis pour les angles. La couverture est constituée de bacs d’aluminium débordant de 50 cm sur toutes les façades, avec un auvent de 1,20 m sur la façade principale et protégeant la baie vitrée », précise Patrick Seguin.
Encore aujourd’hui, « La Maison des jours meilleurs » fait figure d’avant garde, d’autant que cette solution n’a jamais été retenue par les gouvernements successifs pour aider à reloger les sans-abris.
Lors de son exposition sur les bords de Seine, sept heures ont suffi à monter et démonter la maison.
« Jean Prouvé a installé sur le quai Alexandre III la plus belle maison que je connaisse, le plus parfait moyen d’habitation, la plus étincelante chose construite. Et tout cela est en vrai, bâti, réalisé, conclusion d’une vie de recherche. Et c’est l’Abbé Pierre qui la lui a commandée !« , a écrit Le Corbusier qui visite « La maison des jours meilleurs », en février 1956.
Tourisme 2012: La Crète comme un air de vacances, à découvrir autrement !!!!
Découverte d’un village :
Milatos
et
sa région !!!
Informations sur Milatos :
http://www.milatos.com/francais/frame-kyveli-fr.html
Les grottes de Milatos
Village haut de Milatos
Port de Milatos
Balades autour de Milatos
Balades à Agios Nikolaos
Monastères
ELOUNDA
PLAKA
Île de Spinalonga
L’île des oubliés, un livre à lire sur place !!!!!
Bouquet final !!!!
Publié dans Actualités, Architecture, découverte dune ville, Nature, Non classé, Voyages
Tagué 2012, agios nikolaos, autour, balades, bouquet, Crète, Crete GRECE, découvrir la crète autrement, elounda, grottes, Heraklion, Iraklion, kréta, kriti, L'île des oubliés, la mer, Malia, Milatos, Milatos Paralia, monastères, Plaka, port, Raki, région, Spinalonga, Tourisme crète, village, village de pêcheurs, WWW.MILATOS.COM
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Une vague verte pour maison
Une vague verte pour maison
Patrick Nadeau ©
Dans le cadre du programme «Maisons 2020» initié par le bailleur social Plurial l’Effort Rémois, Patrick Nadeau a imaginé et dessiné «la Maison vague», un habitat original prenant la forme d’une courbe. Avec sa toiture végétalisée, ce prototype s’adresse aux amateurs de jardinage et pourrait être précurseur de nouvelles habitudes de vie. Découverte.
http://www.batiactu.com/edito/une-vague-verte-pour-maison–diaporama–32134.php
Fiche technique
Plurial l’Effort Rémois : commanditaire du projet dans le cadre de son programme Maisons 2020
Architecte-designer : Patrick Nadeau
Surface : 130 m2
Coût : environ 250.000 euros
Début des travaux : mars 2012
Fin des travaux : octobre 2012
Attention, une vague verte déferle près de Reims ! Cet habitat d’un nouveau genre est en train d’émerger dans le lotissement «La Haute Ville», situé sur la commune de Sillery.
Baptisé «Maison vague» en raison de son apparence courbe, il propose de revisiter les codes classiques du logement. A l’instar des troglodytes, les pièces seront voûtées : les occupants devront donc apprivoiser les rondeurs de l’ensemble même si les parois permettent de ne pas perturber la vie des habitants. Issue de l’imagination de l’architecte-designer, Patrick Nadeau, cette « grotte » se distingue aussi par son enveloppe végétale : «Elle représente à la fois un paysage prenant la forme d’une petite colline, un jardin sauvage grâce à son ensemencement spécifique et un objet, puisque sa structure, décollée de 45 cm du sol, donne l’impression visuelle d’un élément autonome flottant et mobile dont la bordure peut être utilisée comme un banc sur lequel on peut s’asseoir», explique le concepteur. Et d’ajouter : «La végétalisation sans irrigation de parois d’aussi forte pente est une première».
Une maison-jardin
Une attention particulière a été portée sur le choix des plantes qui seront à la fois résistantes et faciles d’entretien. Ainsi, se côtoieront des sédums, des graminées, du thym, de la lavande et d’autres petites vivaces et herbes aromatiques réparties en fonction de l’inclinaison de la coque. «C’est un vrai jardin !», confie Patrick Nadeau, qui s’amuse ici à faire «tomber les frontières entre design, architecture et paysage». Pour les futurs habitants, le défi sera de taille puisqu’ils devront composer avec leur jardin toiture et en prendre soin. Une manière amusante et surtout utile de développer la main verte ! Car il faut le rappeler, la toiture végétale vise un confort thermique. Concernant la technique pour le maintien, un système de fixation adapté au toit a été créé : dans les parties où la pente est forte, des casiers retiendront la terre en place. Pour l’eau, ce sont les plantes, elles-mêmes, qui la maintiendront.
Dans le cadre du programme «Maisons 2020» initié par le bailleur social Plurial l’Effort Rémois, Patrick Nadeau, plusieurs architectes ont proposé des projet de maison. Patrick Nadeau a créé une « Maison vague ».
Plurial l’Effort Rémois ©
A la recherche du bien-être
Si cette « maison-jardin » est originale, voire insolite, elle n’a qu’un seul but final : assurer le bien-être de ses futurs locataires. Ce défi technologique d’une surface de 130 m2 dont 90 habitables proposera 3 pièces en rez-de-chaussée et un étage. Quant au projet, il est destiné aux personnes aux revenus relativement modestes. A travers cette opération, Plurial l’Effort Rémois souhaite encourager l’appropriation du lieu de vie par ses occupants car «un locataire heureux dans son logement va être enclin, non seulement à maintenir celui-ci en état, mais également à s’investir davantage dans la vie de son quartier et ainsi tisser du lien social», précise Damien Tourneur, directeur du bureau d’étude de maîtrise d’Œuvre d’exécution de logements neufs. Enfin, si l’opération s’annonce novatrice, elle ne devrait pas être reproduite : «Véritables objets d’expérimentation de nouveaux systèmes constructifs, les maisons du programme n’ont pas vocation à être dupliquées», note Damien Tourneur. Quant à l’architecte, même s’il sait que son projet est unique, il compte bien réutiliser les principes mis au point sur d’autres réalisations.
Si cette « maison-jardin » est originale, voire insolite, elle n’a qu’un seul but final : assurer le bien-être de ses futurs locataires. Ce défi technologique d’une surface de 130 m2 dont 90 habitables proposera 3 pièces en rez-de-chaussée et un étage. Quant au projet, il est destiné aux personnes aux revenus relativement modestes. A travers cette opération, Plurial l’Effort Rémois souhaite encourager l’appropriation du lieu de vie par ses occupants car «un locataire heureux dans son logement va être enclin, non seulement à maintenir celui-ci en état, mais également à s’investir davantage dans la vie de son quartier et ainsi tisser du lien social», précise Damien Tourneur, directeur du bureau d’étude de maîtrise d’Œuvre d’exécution de logements neufs. Enfin, si l’opération s’annonce novatrice, elle ne devrait pas être reproduite : «Véritables objets d’expérimentation de nouveaux systèmes constructifs, les maisons du programme n’ont pas vocation à être dupliquées», note Damien Tourneur. Quant à l’architecte, même s’il sait que son projet est unique, il compte bien réutiliser les principes mis au point sur d’autres réalisations.
Batiactu C.G. (21/05/2012)
Versailles se raconte dans le RER C
Versailles se raconte dans le RER C
Sncf vient de mettre sur les rails le premier train Transilien entièrement décoré aux couleurs du Château de Versailles. C’est en effet une rame complète du RER C, desservant le célèbre site touristique, qui arbore depuis mercredi 16 mai, des décors de la Galerie des Glaces ou de la Bibliothèque de Louis XVI. Détails.
Le pelliculage de la rame a commencé le 2 mai et s’est terminé le 15 mai. Sept agents (5 du site des Ardoines et 2 agents du site de Trappes) ont été mobilisés à plein temps.
Chaque voiture a nécessité entre un jour et deux jours de travail. Plusieurs centaines de pièces de taille différente ont été posées, soit plus de 160 mètres de film plastique décoré pour une rame. Le pelliculage des plafonds a nécessité 15 litres d’eau en moyenne.
La création graphique a été prise en charge par le château de Versailles. SNCF Transilien a pris en charge sa pose à l’intérieur du train.
Le pelliculage du train « Versailles » a été une opération difficile qui a demandé une grande compétence et beaucoup de minutie à l’ensemble des équipes concernées de SNCF et de l’Établissement public du Château, du musée et du domaine national de Versailles, en raison de l’importance des espaces à décorer, de la complexité d’adapter les décors choisis à la configuration du train et de l’ampleur des pièces à coller dans un train à la structure complexe (2 niveaux avec une salle basse, une salle haute et des escaliers dans chaque voiture).
Les différentes étapes ont été :
– un réaménagement préalable de la rame pendant 3 jours : changement des cloisons, réparation des portes, dépose des éléments intérieurs (barres d’appui notamment), lissage des parois afin de garantir une meilleure tenue du film plastique décoré et nettoyage
– le découpage des films plastiques au millimètre près
– la pose et le marouflage
– le lissage à l’au savonneuse pour garantir la tenue du film
– un réaménagement préalable de la rame pendant 3 jours : changement des cloisons, réparation des portes, dépose des éléments intérieurs (barres d’appui notamment), lissage des parois afin de garantir une meilleure tenue du film plastique décoré et nettoyage
– le découpage des films plastiques au millimètre près
– la pose et le marouflage
– le lissage à l’au savonneuse pour garantir la tenue du film
Maison à part (21/05/2012)
4 réponses à Maison de Garde Barrière à vendre en Bretagne !!!!!
est ce que vous pouvez me dire ou se trouve cette maison
elle peut m’interresser
merci
encore a vendre ?
Oui oui elle est encore en vente, n’hésitez pas à me contacter pour plus d’infos.
Laissez vous tenter par les charmes de la Bretagne profonde, les côtes nord et sud pas très loin, la vie dans un bourg paisible, un jardin pour s’y reposer et y cultiver également ses propres fruits et légumes.
Bonsoir,
Je suis à la recherche d’une petite maison dans un coin touristique… Si cette jolie maison est encore en vente, pouvez-vous me l’indiquer ?
J’aimerais savoir si on peut la visiter et qui je dois contacter pour cette visite ?
D’avance, merci et bonne année 2013…